Voici ce qui s’est passé sur la scène de prédication locale (Algérie)
هذا الذي حدث في السّاحة الدّعويّة المحليّة
Ecrit en arabe et traduit en français par
Aboû Fahîma ‘Abd Ar-Rahmên Ayad
Pour lire la version arabe, aller sur: http://www.tasfia-tarbia.org/vb/showthread.php?t=25552
هذا الذي حدث في السّاحة الدّعويّة المحليّة
Ecrit en arabe et traduit en français par
Aboû Fahîma ‘Abd Ar-Rahmên Ayad
Pour lire la version arabe, aller sur: http://www.tasfia-tarbia.org/vb/showthread.php?t=25552
Au Nom d’Allâh, Le Tout-Miséricordieux, Le Très-Miséricordieux,
Toutes les louanges appartiennent à Allâh, le Seigneur de l’univers, et que la prière et le salut soient sur le plus noble des Prophètes et Messagers, cela dit :
Plusieurs frères m’ont interrogé, et le dernier d’entre eux l’a fait hier, sur la réalité de ce qui se passe sur la scène prédicative algérienne ; et ce après qu’ils aient constaté l’acharnement furieux d’une clique de jeunes pour discréditer le savantissime cheikh Ferkous -puisse Allâh le préserver, l’assister et le prémunir contre le mal de tout être maléfique-. Au fait, ces frères questionneurs disent dans leurs messages qu’ils font partie de la masse des salafis, et qu’ils n’ont pas une connaissance complète de ce qui se passe. Ce qui, cela étant, m’a obligé à démontrer à mes frères la réalité de ce qui arrive, quitte à ce que je ne le fasse qu’en donnant une réponse la plus courte possible, et dont le style sera des plus globaux, laquelle réponse leur permettra d’avoir une parfaite conception de ce qu’il en est de la situation de prédication (daawa) en Algérie depuis maintenant deux ans. Ceci afin que la vérité leur soit éclairée, et qu’ils ne soient pas dupés par une quelconque ignorance ou inadvertance les poussant à penser que ce groupe juvénile ayant largement répandu la corruption sur terre est sur la vérité.
Voici donc ma réponse à mes frères qui m’interrogent. Je l’exhibe afin que d’autres frères se trouvant dans la même situation de manque de connaissances sur le sujet en tirent profit :
En fait, ce qui s’est passé, c’est que le cheikh savantissime Ferkous ainsi que ses frères, leur Eminence Azhar Senigra, Abdelmadjid Djemaa et Nadjib Djelouah -qu’Allâh les préserve tous-, étaient tous dans la maison d’édition Dar El Fadhila, avec également « les rédacteurs de la revue » El Islah (appelés machayikhs el Islah).
Et, l’érudit cheikh Ferkous -puisse Allâh -Très-Haut le préserver- remarquait des infractions religieuses et méthodologiques chez les « rédacteurs de la revue », ce qui bien évidemment l’amenait à les conseiller et les exhorter.
Font partie de ces infractions, à titre d’exemple et on de dénombrement, le fait de demander à des gens ayant des infractions méthodologiques de leur écrire des articles pour la revue. Et il se trouve parmi ces derniers des halabiyîns et des ramadhâniyîns. De même, ils font des dawrâtes « séminaires » avec aussi des gens moukhêlifîns (ayant des infractions religieuses et méthodologiques), tel que leur collaboration avec l’association el wancharissi. Voire ils ont même collaboré avec les soufis dans la ville de Ain Madi à Laghouat, comme cela a déjà été diffusé dans une vidéo sur la toile depuis deux ans. De plus, ces mêmes rédacteurs appelés « machayikhs el islâh » en tiraient des profits financiers par leur fréquentation avec les gens riches, sous prétexte que cela rend service à la daawa ! Ce fait est confirmé, même s’ils ont tenté de s’en désavouer, et nous avons des preuves sur cela ici à Béjaia, concernant leur ainé. Parmi aussi leurs infractions, il y a le fait de se taire au sujet de certains prédicateurs déviés, tel Ibn Hanifia dans l’ouest algérien, comme ils se sont tout aussi tus sur ar-Ramadani, malgré qu’il ait insulté les deux cheiks savantissimes Rabî‘ et ‘Oubeyd -qu’Allâh les préserve- alors qu’il était avec eux dans une réunion dans Dar El Fadhila. Il y a également leur silence envers Boualem, le distributeur de la maison, et leur refus de le licencier, lui qui est un fervent suiviste de Ramadani pour lequel il distribue les livres, et duquel il dit qu’il est son cheikh et son bien-aimé ! Pareil, il se sont tus sur Taybi, un imam et prédicateur halabi, et contribuent avec lui dans la daawa… Ajoutons à ceci leur défense de certaines personnes déviées, quand certains cheikhs tel notre cheikh Azhar -puisse Allâh le préserver- met en garde contre elles. Bien plus, face à la mise en garde, eux ils leur font des éloges et les louent !
Tout cela te démontre que leurs fréquentations ne sont pas basées sur le manhadj, mais sur des relations et des intérêts personnels, pour lesquels ils font des interprétations nulles… Mais il y a aussi leur refus d’éditer un communiqué mettant en garde contre El Halabi, qui a été jugé hérétique (innovateur) par l’érudit Rabî‘ -qu’Allâh le préserve-, et qui a dit à son sujet : « Si El Halabi n’est pas un innovateur, donc il n’y a pas d’innovateur dans le monde ! » Ils se sont ainsi refusés à la demande des machayikhs (Ferkous et ses frères) d’écrire ce communiqué.
Toutes ces infractions, en plus que d’autres encore très nombreuses tel que le fait de mettre dans la revue (El Islah) des images illustrant le Paradis et l’Enfer, et des images sur lesquelles on peut voir des antennes paraboliques, le drapeau algérien, etc. Pourtant, le cheikh érudit Ferkous -qu’Allâh le préserve- leur donnait des conseils, mais ils les refusaient…
Et il y a encore beaucoup d’autres infractions religieuses.
Quant à l’affaire du cheikh savantissime Rabî‘ -qu’Allâh le préserve-, au début il a admis la mise en garde du cheikh docteur et fondamentaliste (ousôlî) ‘Abd El Madjid Djemaa -qu’Allâh le garde-, sa mise en garde contre Hamouda, celui-ci même qui a donné feu à la mèche de la fitna, après qu’il y ait été tiré par M’rabet qui l’a fasciné. Donc le cheikh érudit Rabî‘ -qu’Allâh le garde- avait au début mis en garde contre eux, et il a demandé au cheikh ‘Abd El Madjid -qu’Allâh le préserve- de réfuter contre « les rédacteurs de la revue », et de fonder une nouvelle revue propre au cheikh Ferkous et ses frères.
Or, les saafiqas dans Médine se sont directement mêlés dans l’affaire ; et ils se sont mis à montrer à cheikh Rabî‘ -qu’Allâh Très-Haut le garde- que les « auteurs de la revue » sont injustés, et qu’ils cherchent à s’assoir avec les machayikhs, alors que cela est faux ! C’est donc cette image que les saafiqa ont développée dans la maison de cheikh Rabî‘ -qu’Allâh le garde, alors qu’en Algérie, la réalité en est toute autre.
En effet, ils n’ont de cesse d’attiser les feux de la fitna par le fait de mettre en avant M’rabet et Hamouda ainsi que la troupe juvénile, afin de monter les jeunes contre l’érudit Ferkous et ses frères machayikhs. Et par-là également, ces « rédacteurs de la revue » nient tout à fait qu’ils ont des infractions, et ils s’en désavouent complètement au lieu de s’en repentir. Cela malgré la diffusion profuse des preuves qui les condamnent d’entre les audios, les vidéos, les témoignages de gens justes, et les narrations rapportées par des personnes fiables et ainsi de suite.
Les saafiqas se sont alors donnés à mentir sur le cheikh Rabî‘, à enregistrer des audios qu’ils découpent, recoupent, copient, collent, etc. Et c’est ainsi que par leur stratagème ils ont détourné le cours des choses dans la maison du cheikh Rabî‘ -puisse Allâh le préserver-. S’ajoute à cela le fait qu’ils ont depuis le début fait en sorte de montrer au cheikh que l’affaire d’Algérie est la même que celle du cheikh savantissime et Hêfidh Mouhammed Ibn Hêdî qui les a discrédités et a mis en garde contre eux -puisse Allâh Très-Haut le préserver et le faire triompher-. Ils ont ainsi prétendu à cheikh Rabî‘ que le cheikh Ferkous ainsi que les machayikhs qui sont avec lui sont dirigés par le cheikh Mouhammed Ibn Hêdî !! Et, cette borgne menterie, les « rédacteurs de la revue » se sont empressés à l’adopter, la prendre comme argument et la diffuser, tel qu’ils ont fait dans leur sinistre communique « barâ’èt adhimma ».
Au fait, les saafiqas de Médine, leurs meneurs sont très malheureusement les confidents (bitâna) du cheikh Rabî‘ et les personnes qui s’assoient avec lui d’habitude -puisse Allâh lui faire découvrir leur réalité- ; ils entrent chez lui quand ils veulent et ne laissent le visiter que ceux qu’ils veulent ! Ils lui ont ainsi amalgamé les choses, wa Allâh el Mousta‘ên !…
Or le cheikh Ferkous est un érudit, et il est ancré dans la science et ce d’après le témoignage des gens de science partout à notre époque. Et il y a avec lui des savants et de grands machayikhs, autant en âge qu’en science. Le cheikh connaît parfaitement « les rédacteurs de la revue », qu’il a cohabités pendant plus de dix ans et « Celui qui sait est une preuve sur celui qui ne sait pas », et « Celui qui détient d’avantage de savoir est prioritaire à celui qui est moindre », et « Le concitoyen est plus informé de son homologue que celui qui n’habite pas dans le même pays », et « Le discrédit détaillé passe avant le crédit », et « La preuve est dans l’argument et non dans la parole du savant », et « Les savants, on cherche des arguments pour leurs paroles qu’on ne prend pas pour arguments », et « Nul n’est impeccable après le Messager d’Allâh -qu’Allâh prie sur lui et le salue-, et l’impeccabilité est dans le Livre et la Sounna »… Il s’agit là de règles méthodologiques salafies qui te démontrent que la vérité concernant cette affaire est du côté du cheikh érudit Ferkous et ses frères -qu’Allâh les préservent tous-. Et ils ont pourtant revendiqué au « auteurs de la revue » de se repentir, et de s’assoir avec eux ensuite, mais ces derniers se sont obstinés, ont refusé et ont fui d’avouer leurs infractions. Bien au contraire, ils ont préféré le mensonge, l’ambiguïté et l’amalgame à l’aveu et au repentir. Ils se sont également adonnés à produire des tazkiyates (recommandations) en leur faveur de la part de l’érudit Rabî‘ -qu’Allâh le préserve-, et ceci afin de faire croire aux jeunes qu’ils sont avec les savants !!
C’est ainsi qu’ils ont attisé le feu de leur fitna en poussant vers elle la clique juvénile de la fitna : M’rabet, Hamouda el Bouleydi et tous ceux qui gravitent dans leur sphère. Ils ont en effet utilisé divers et variés moyens et procédés horribles, dont personne parmi les moukhêlifîns ne les a précédés par le passé. Parmi ces procédés figurent les enregistrements secrets des interlocuteurs parmi les machayikhs, le vol du site tasfia supervisé par notre vertueux cheikh Azhar -qu’Allâh le préserve-, le fait d’avoir placé en cachette un enregistreur dans la maktaba de l’érudit Ferkous pour l’enregistrer secrètement, l’enregistrement d’audios avec les deux érudits Rabî‘ et ‘Oubeyd -puisse Allâh les préserver de leur mal-, puis les couper, et les diffuser par la suite au moment où cela les arrange et sert leur projet diabolique de discréditer le savantissime Ferkous -puisse Allâh Très-Haut le préserver-, et qu’Allâh mette en échec leur stratagème. Et il y a également parmi leurs procédés la légèreté à mentir et à tromper, le mensonge continu sans crainte d’Allâh, l’amalgame, la tromperie, l’insulte et l’offense, ainsi que d’autres méthodes terribles que je n’arrive pas à dénombrer sur le champ, mais qui sont liées toutes à la perfide règle machiavélique « La fin justifie les moyens » ; et la fin ici consiste bien entendu dans le fait de discréditer l’érudit cheikh Ferkous et ses frères, et s’emparer par la suite de la direction de la daawa salafie en Algérie !
Or, Allâh -Très-Haut- accordera le triomphe à la vérité qui l’emportera sur le faux, quitte à ce que celui-ci soit attisé par ses partisans qui l’alimentent par des détours de paroles et des stratégies vouées à la perte. Mais c’est aussi une épreuve et un examen, et Allâh raffermira sur la vérité ceux qui sont véridiques et sincères dans leur appartenance à cette Voie salafie, et ceux auxquels Allâh a voulu du bien. Quant à ceux qui ont une déviance dans le cœur, ou qui cachent en eux un désir pour le mal, ou qui préfèrent la vie d’ici-bas à celle de l’au-delà, tous ceux-là seront arrachés par les flots du faux, qu’Allâh -Très-Haut- nous en préserve ((Puis quand ils dévièrent, Allâh fit dévier leurs cœurs)).
Puisse Allâh -Exalté et Très-Haut soit-Il- nous accorder Son assistance et Sa réussite, et nous raffermir sur la Sounna jusqu’à ce que nous le retrouvions, êmîn !
Voilà ce qui m’est venu à présent à l’esprit comme réponse à ta question, cher frère, et, c’est Allâh -Exalté soit-Il- Seul qui accorde la réussite vers tout bien, et qu’Allâh te bénisse, wa assalêmou ‘aleykoum wa rahmatou-L-lâhi wa barakêtouh.
N.B. Cette réponse, je la donnais (ou du moins son essence) aux frères qui m’interrogeaient sur ce sujet, tel que je l’ai mentionné au début.
Toutes les louanges appartiennent à Allâh, le Seigneur de l’univers, et que la prière et le salut soient sur le plus noble des Prophètes et Messagers, cela dit :
Plusieurs frères m’ont interrogé, et le dernier d’entre eux l’a fait hier, sur la réalité de ce qui se passe sur la scène prédicative algérienne ; et ce après qu’ils aient constaté l’acharnement furieux d’une clique de jeunes pour discréditer le savantissime cheikh Ferkous -puisse Allâh le préserver, l’assister et le prémunir contre le mal de tout être maléfique-. Au fait, ces frères questionneurs disent dans leurs messages qu’ils font partie de la masse des salafis, et qu’ils n’ont pas une connaissance complète de ce qui se passe. Ce qui, cela étant, m’a obligé à démontrer à mes frères la réalité de ce qui arrive, quitte à ce que je ne le fasse qu’en donnant une réponse la plus courte possible, et dont le style sera des plus globaux, laquelle réponse leur permettra d’avoir une parfaite conception de ce qu’il en est de la situation de prédication (daawa) en Algérie depuis maintenant deux ans. Ceci afin que la vérité leur soit éclairée, et qu’ils ne soient pas dupés par une quelconque ignorance ou inadvertance les poussant à penser que ce groupe juvénile ayant largement répandu la corruption sur terre est sur la vérité.
Voici donc ma réponse à mes frères qui m’interrogent. Je l’exhibe afin que d’autres frères se trouvant dans la même situation de manque de connaissances sur le sujet en tirent profit :
En fait, ce qui s’est passé, c’est que le cheikh savantissime Ferkous ainsi que ses frères, leur Eminence Azhar Senigra, Abdelmadjid Djemaa et Nadjib Djelouah -qu’Allâh les préserve tous-, étaient tous dans la maison d’édition Dar El Fadhila, avec également « les rédacteurs de la revue » El Islah (appelés machayikhs el Islah).
Et, l’érudit cheikh Ferkous -puisse Allâh -Très-Haut le préserver- remarquait des infractions religieuses et méthodologiques chez les « rédacteurs de la revue », ce qui bien évidemment l’amenait à les conseiller et les exhorter.
Font partie de ces infractions, à titre d’exemple et on de dénombrement, le fait de demander à des gens ayant des infractions méthodologiques de leur écrire des articles pour la revue. Et il se trouve parmi ces derniers des halabiyîns et des ramadhâniyîns. De même, ils font des dawrâtes « séminaires » avec aussi des gens moukhêlifîns (ayant des infractions religieuses et méthodologiques), tel que leur collaboration avec l’association el wancharissi. Voire ils ont même collaboré avec les soufis dans la ville de Ain Madi à Laghouat, comme cela a déjà été diffusé dans une vidéo sur la toile depuis deux ans. De plus, ces mêmes rédacteurs appelés « machayikhs el islâh » en tiraient des profits financiers par leur fréquentation avec les gens riches, sous prétexte que cela rend service à la daawa ! Ce fait est confirmé, même s’ils ont tenté de s’en désavouer, et nous avons des preuves sur cela ici à Béjaia, concernant leur ainé. Parmi aussi leurs infractions, il y a le fait de se taire au sujet de certains prédicateurs déviés, tel Ibn Hanifia dans l’ouest algérien, comme ils se sont tout aussi tus sur ar-Ramadani, malgré qu’il ait insulté les deux cheiks savantissimes Rabî‘ et ‘Oubeyd -qu’Allâh les préserve- alors qu’il était avec eux dans une réunion dans Dar El Fadhila. Il y a également leur silence envers Boualem, le distributeur de la maison, et leur refus de le licencier, lui qui est un fervent suiviste de Ramadani pour lequel il distribue les livres, et duquel il dit qu’il est son cheikh et son bien-aimé ! Pareil, il se sont tus sur Taybi, un imam et prédicateur halabi, et contribuent avec lui dans la daawa… Ajoutons à ceci leur défense de certaines personnes déviées, quand certains cheikhs tel notre cheikh Azhar -puisse Allâh le préserver- met en garde contre elles. Bien plus, face à la mise en garde, eux ils leur font des éloges et les louent !
Tout cela te démontre que leurs fréquentations ne sont pas basées sur le manhadj, mais sur des relations et des intérêts personnels, pour lesquels ils font des interprétations nulles… Mais il y a aussi leur refus d’éditer un communiqué mettant en garde contre El Halabi, qui a été jugé hérétique (innovateur) par l’érudit Rabî‘ -qu’Allâh le préserve-, et qui a dit à son sujet : « Si El Halabi n’est pas un innovateur, donc il n’y a pas d’innovateur dans le monde ! » Ils se sont ainsi refusés à la demande des machayikhs (Ferkous et ses frères) d’écrire ce communiqué.
Toutes ces infractions, en plus que d’autres encore très nombreuses tel que le fait de mettre dans la revue (El Islah) des images illustrant le Paradis et l’Enfer, et des images sur lesquelles on peut voir des antennes paraboliques, le drapeau algérien, etc. Pourtant, le cheikh érudit Ferkous -qu’Allâh le préserve- leur donnait des conseils, mais ils les refusaient…
Et il y a encore beaucoup d’autres infractions religieuses.
Quant à l’affaire du cheikh savantissime Rabî‘ -qu’Allâh le préserve-, au début il a admis la mise en garde du cheikh docteur et fondamentaliste (ousôlî) ‘Abd El Madjid Djemaa -qu’Allâh le garde-, sa mise en garde contre Hamouda, celui-ci même qui a donné feu à la mèche de la fitna, après qu’il y ait été tiré par M’rabet qui l’a fasciné. Donc le cheikh érudit Rabî‘ -qu’Allâh le garde- avait au début mis en garde contre eux, et il a demandé au cheikh ‘Abd El Madjid -qu’Allâh le préserve- de réfuter contre « les rédacteurs de la revue », et de fonder une nouvelle revue propre au cheikh Ferkous et ses frères.
Or, les saafiqas dans Médine se sont directement mêlés dans l’affaire ; et ils se sont mis à montrer à cheikh Rabî‘ -qu’Allâh Très-Haut le garde- que les « auteurs de la revue » sont injustés, et qu’ils cherchent à s’assoir avec les machayikhs, alors que cela est faux ! C’est donc cette image que les saafiqa ont développée dans la maison de cheikh Rabî‘ -qu’Allâh le garde, alors qu’en Algérie, la réalité en est toute autre.
En effet, ils n’ont de cesse d’attiser les feux de la fitna par le fait de mettre en avant M’rabet et Hamouda ainsi que la troupe juvénile, afin de monter les jeunes contre l’érudit Ferkous et ses frères machayikhs. Et par-là également, ces « rédacteurs de la revue » nient tout à fait qu’ils ont des infractions, et ils s’en désavouent complètement au lieu de s’en repentir. Cela malgré la diffusion profuse des preuves qui les condamnent d’entre les audios, les vidéos, les témoignages de gens justes, et les narrations rapportées par des personnes fiables et ainsi de suite.
Les saafiqas se sont alors donnés à mentir sur le cheikh Rabî‘, à enregistrer des audios qu’ils découpent, recoupent, copient, collent, etc. Et c’est ainsi que par leur stratagème ils ont détourné le cours des choses dans la maison du cheikh Rabî‘ -puisse Allâh le préserver-. S’ajoute à cela le fait qu’ils ont depuis le début fait en sorte de montrer au cheikh que l’affaire d’Algérie est la même que celle du cheikh savantissime et Hêfidh Mouhammed Ibn Hêdî qui les a discrédités et a mis en garde contre eux -puisse Allâh Très-Haut le préserver et le faire triompher-. Ils ont ainsi prétendu à cheikh Rabî‘ que le cheikh Ferkous ainsi que les machayikhs qui sont avec lui sont dirigés par le cheikh Mouhammed Ibn Hêdî !! Et, cette borgne menterie, les « rédacteurs de la revue » se sont empressés à l’adopter, la prendre comme argument et la diffuser, tel qu’ils ont fait dans leur sinistre communique « barâ’èt adhimma ».
Au fait, les saafiqas de Médine, leurs meneurs sont très malheureusement les confidents (bitâna) du cheikh Rabî‘ et les personnes qui s’assoient avec lui d’habitude -puisse Allâh lui faire découvrir leur réalité- ; ils entrent chez lui quand ils veulent et ne laissent le visiter que ceux qu’ils veulent ! Ils lui ont ainsi amalgamé les choses, wa Allâh el Mousta‘ên !…
Or le cheikh Ferkous est un érudit, et il est ancré dans la science et ce d’après le témoignage des gens de science partout à notre époque. Et il y a avec lui des savants et de grands machayikhs, autant en âge qu’en science. Le cheikh connaît parfaitement « les rédacteurs de la revue », qu’il a cohabités pendant plus de dix ans et « Celui qui sait est une preuve sur celui qui ne sait pas », et « Celui qui détient d’avantage de savoir est prioritaire à celui qui est moindre », et « Le concitoyen est plus informé de son homologue que celui qui n’habite pas dans le même pays », et « Le discrédit détaillé passe avant le crédit », et « La preuve est dans l’argument et non dans la parole du savant », et « Les savants, on cherche des arguments pour leurs paroles qu’on ne prend pas pour arguments », et « Nul n’est impeccable après le Messager d’Allâh -qu’Allâh prie sur lui et le salue-, et l’impeccabilité est dans le Livre et la Sounna »… Il s’agit là de règles méthodologiques salafies qui te démontrent que la vérité concernant cette affaire est du côté du cheikh érudit Ferkous et ses frères -qu’Allâh les préservent tous-. Et ils ont pourtant revendiqué au « auteurs de la revue » de se repentir, et de s’assoir avec eux ensuite, mais ces derniers se sont obstinés, ont refusé et ont fui d’avouer leurs infractions. Bien au contraire, ils ont préféré le mensonge, l’ambiguïté et l’amalgame à l’aveu et au repentir. Ils se sont également adonnés à produire des tazkiyates (recommandations) en leur faveur de la part de l’érudit Rabî‘ -qu’Allâh le préserve-, et ceci afin de faire croire aux jeunes qu’ils sont avec les savants !!
C’est ainsi qu’ils ont attisé le feu de leur fitna en poussant vers elle la clique juvénile de la fitna : M’rabet, Hamouda el Bouleydi et tous ceux qui gravitent dans leur sphère. Ils ont en effet utilisé divers et variés moyens et procédés horribles, dont personne parmi les moukhêlifîns ne les a précédés par le passé. Parmi ces procédés figurent les enregistrements secrets des interlocuteurs parmi les machayikhs, le vol du site tasfia supervisé par notre vertueux cheikh Azhar -qu’Allâh le préserve-, le fait d’avoir placé en cachette un enregistreur dans la maktaba de l’érudit Ferkous pour l’enregistrer secrètement, l’enregistrement d’audios avec les deux érudits Rabî‘ et ‘Oubeyd -puisse Allâh les préserver de leur mal-, puis les couper, et les diffuser par la suite au moment où cela les arrange et sert leur projet diabolique de discréditer le savantissime Ferkous -puisse Allâh Très-Haut le préserver-, et qu’Allâh mette en échec leur stratagème. Et il y a également parmi leurs procédés la légèreté à mentir et à tromper, le mensonge continu sans crainte d’Allâh, l’amalgame, la tromperie, l’insulte et l’offense, ainsi que d’autres méthodes terribles que je n’arrive pas à dénombrer sur le champ, mais qui sont liées toutes à la perfide règle machiavélique « La fin justifie les moyens » ; et la fin ici consiste bien entendu dans le fait de discréditer l’érudit cheikh Ferkous et ses frères, et s’emparer par la suite de la direction de la daawa salafie en Algérie !
Or, Allâh -Très-Haut- accordera le triomphe à la vérité qui l’emportera sur le faux, quitte à ce que celui-ci soit attisé par ses partisans qui l’alimentent par des détours de paroles et des stratégies vouées à la perte. Mais c’est aussi une épreuve et un examen, et Allâh raffermira sur la vérité ceux qui sont véridiques et sincères dans leur appartenance à cette Voie salafie, et ceux auxquels Allâh a voulu du bien. Quant à ceux qui ont une déviance dans le cœur, ou qui cachent en eux un désir pour le mal, ou qui préfèrent la vie d’ici-bas à celle de l’au-delà, tous ceux-là seront arrachés par les flots du faux, qu’Allâh -Très-Haut- nous en préserve ((Puis quand ils dévièrent, Allâh fit dévier leurs cœurs)).
Puisse Allâh -Exalté et Très-Haut soit-Il- nous accorder Son assistance et Sa réussite, et nous raffermir sur la Sounna jusqu’à ce que nous le retrouvions, êmîn !
Voilà ce qui m’est venu à présent à l’esprit comme réponse à ta question, cher frère, et, c’est Allâh -Exalté soit-Il- Seul qui accorde la réussite vers tout bien, et qu’Allâh te bénisse, wa assalêmou ‘aleykoum wa rahmatou-L-lâhi wa barakêtouh.
N.B. Cette réponse, je la donnais (ou du moins son essence) aux frères qui m’interrogeaient sur ce sujet, tel que je l’ai mentionné au début.
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