Le n​​​oble sheikh Aboû ‘abdel A‘lâ ​​​​Khâlid ibn ‘Outhmân Al Misrî, qu'Allâh le préserve: i

Le noble sheikh Mouhammad ibn hâdî Al Madkhalî - qu'Allâh le préserve - : i

i « Connaître celui qui dévie dans le manhadj fait partie de la recherche de la science. Connaître ceux qui dévient de la Sounnah et de la voie correcte, cela fait partie de la recherche de science. » fin

L'éminent cheikh Rabî’ ibn Hâdi Al Madkhalî - qu'Allâh le préserve - : i

i « Et le Qour’ân, par Allâh, réfute les partisans de la mécréance et de l’égarement, ainsi que les hypocrites, les juifs et les chrétiens. Il n’a pas omis un seul égarement sans le blâmer vivement, le réfuter et exposer le fourvoiement de ses adeptes. Et il en est de même pour la Sounna. Et le manhadj des prédécesseurs en est rempli ; les ouvrages de croyance et de djarh wat-ta‘dîl (le discrédit et le crédit) abondent de critiques et de répliques aux adeptes du faux, car la vérité et le faux ne peuvent être discernés que par le biais de ces critiques et ces réfutations!» fin

Les causes de la déviance, p.13





​A consulter également :i

Deux ambiguïtés pernicieuses

Par l'honorable cheikh Rabî‘ Ibn Hâdî Al Madkhalî, qu'Allâh le préserve

Lien : https://elibana.org/vb/node/163571

i " Et également, repose sur ce qui a précédé, sur l'erreur précédente, le fait que nous avertissions à propos d'une erreur qui est également très dangereuse qui est que, lorsqu'un débat a lieu entre toi et une personne à propos d'un sujet, et que tu lui dis: "quelle est la preuve à propos de cela?" , il ne te dit pas: "Allâh a dit", et il ne te dit pas "le Messager d'Allâh qu’Allâh prie sur lui et le salue a dit" , et il ne te dit pas: "les pieux prédécesseurs ont dit" , mais il te dit uniquement: "untel a dit", et "untel a dit"... i
Et l'erreur plus détestable encore est que si tu lui dis: "untel s'est trompé dans cet avis, et ce d'après la Parole d'Allâh ...." , ou "d'après la parole du Messager d'Allâh qu’Allâh prie sur lui et le salue ..." , ou "car il contredit le manhadj salafî dans tel sujet" , alors il te dit : "toi, tu dénigres les savants" , "toi, tu diffames les savants" , "toi, tu as en toi quelque chose contre les savants"... i
Par Allâh, ceci est l'éducation "mâ-ribiyyah" (en référence à Abou l Hassan al Mâ-ribî et ses suiveurs), et l'éducation haddâdiyyah, et l'éducation hizbiyyah (partisaniste)
Nous ne l'avons pas connue de la part des prédécesseurs (as-salaf)

Le cheikh Mouqbil, qu'Allâh lui fasse miséricorde, lorsqu'un de ses élèves lui disait: "ô cheikh, cette parole de ta part est une erreur" , il lui disait: "Lève-toi, viens et rapproche-toi de moi! Parle et expose mon erreur!" Ainsi lorsque l'étudiant parlait et exposait la vérité et que c'est la parole de l'étudiant qui était correcte, le cheikh Mouqbil éprouvait de la joie, élogeait ce dernier et lui disait: "qu'Allâh te rétribue de la meilleure manière!" , "sa parole est correcte et la mienne est une erreur!". i
C'est ainsi qu'est l'éducation dispensée par les savants: le cheikh Ibn Bâz, le cheikh Al 'Outhaymîn, tous, qu'Allâh leur fasse miséricorde... jusqu'à nos pieux prédécesseurs, tous -qu'Allâh fasse miséricorde aux défunts et préserve les vivants d'entre eux- , tous veillaient à ne pas faire dépendre ni astreindre les gens à (suivre) leurs avis

Ainsi, toi ô serviteur d'Allâh, si tu fais de "Zayd a dit, ‘Oubayd a dit" la vérité, ceci n'est pas correct. Mais tu ne dois vouloir que la preuve (ad-dalîl)

Observez Ibn ‘Abbâs , lorsqu'il émit des avis dans des sujets [en argumentant] avec preuves, une partie des questionneurs lui dit alors: "Aboû Bakr a dit..., ‘Oumar a dit...". Ibn ‘Abbâs répondit: “il s'en faut de peu que des pierres vous tombent dessus depuis le ciel ! Je vous dis: Allâh a dit, Son Messager a dit. Et vous me répondez : Aboû Bakr a dit, ‘Oumar a dit?!” Ibn ‘Abbâs considère et respecte Aboû bakr et ‘Oumar. Toutefois les dénigre t'il pour autant (en disant cela)? Non! Seulement, la vérité est plus en droit d'être suivie. Et le suivi de la vérité n'est pas un dénigrement envers le savant, c'est plutôt ce qui est obligatoire. Il est obligatoire pour celui qui a pris connaissance de la vérité de l'exposer, et il est obligatoire pour le savant est de revenir à la vérité lorsque celle-ci lui apparaît clairement. Comprenez donc bien ce sujet, bârak Allâhou fîkoum! i
La position correcte dans ce sujet, comme il a précédé, est que la vérité est rattachée au Livre, à la Sounna, et à ce sur quoi étaient les prédécesseurs de la oumma; et elle n'est pas rattachée aux personnes." fin

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Extrait de la série audio «Jusqu'à quand?» (audio 1b)
par le noble cheikh Ahmed Bâzmoûl, qu'Allâh le préserve
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Consulter la série audio complète : t.me/meerathnabawee/5052 (également disponible en pdf)
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Le noble cheikh 'AbdeSalâm As-Souheymî - qu'Allâh le préserve - : i

i« Je dis: il est arrivé à notre époque que certains prétendent être sur la méthodologie des prédécesseurs (le manhadj des salafs) alors qu'il n'en est rien. Voire, d'aucuns donnent même à des groupes sectaires contemporains, dont certains suivent la pensée des Khawâridj, le nom de la salafiyyah. Ils allèguent également que le dénominateur commun entre ces deux est la salafiyyah. Et ceci n'est que le résultat de l'abondance d'ignorance et du peu de science, comme l'a mentionné Cheikh Al Islâm Ibn Teymiyya. Ou bien, leur objectif n'est autre que "diluer" (tamîy‘) la da‘wa salafiyyah ayant pour fondements le Qour'ân et ce qui est authentique de la Sounna d'après la compréhension des pieux prédécesseurs, ce afin d'inclure les factions déviantes dans le cercle des adeptes de la Sounna et du Groupe. » fin

Extrait de l'explication de son livre ''Koun Salafiyyân 'Alâ-l-djêddah'' (Sois salafî comme il se doit) , p.108

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L' érudit Ahmed ibn Yahyâ An-Nadjmî - qu'Allâh lui fasse miséricorde - :i

i « La salafiyya, chez nous, ne consiste pas au suivisme d'un homme parmi les hommes contemporains dans tout ce qu'il dit et émet comme fatwâ. Ce genre de suivisme, nous le considérons parmi les sortes de partisannerie étroite, et comme une forme parmi les formes du fanatisme doctrinal détestable. »fin

Extrait de son ouvrage ''Al mawrid al 'adhbou z-zoulâl"'' , p. 218 selon édition